Crédit immobilier : quand les banques croulent sous les demandes.

Le niveau exceptionnellement bas des taux d'intérêts des crédits immobiliers génère tellement de demandes que les banques s'en trouvent engorgées. Personne ne va se plaindre d'une reprise de l'activité du crédit ni d'un sursaut du marché immobilier. Suivez pourtant le conseil du courtier Meilleurtaux : choisissez une banque réactive pour finaliser votre projet immobilier.
Des taux au plus bas
Depuis plus d'un an les taux d'intérêts des crédits immobiliers baissent inexorablement. Chaque mois bat le record du précédent, un phénomène inédit que les candidats à l'achat immobilier mais également ceux qui détiennent déjà un prêt ont bien compris. Jamais financer un projet immobilier n'a coûté aussi peu cher : le taux moyen sur 15 ans s'établit à 2,05%, mais peut tomber à 1,50% pour les meilleurs dossiers ; sur 20 ans, il n'est pas rare de décrocher un taux sous la barre des 2% et sur 25 ans, moins de 2,5%.Une situation que les professionnels voient perdurer au moins durant les 6 prochains mois. Aucune remontée des taux n'est envisagée, et même si l'OAT 10 ans, l'indice de référence pour déterminer les taux fixes, s'est légèrement apprécié, il reste sous la barre de 1% (0,90% au 11 mai).
Demandes accrues de crédit et renégociation de crédit
Face à cette opportunité unique, les demandes de crédit affluent. Les banques allongent leur délai de réponse devant l'ampleur de l'activité, risquant au passage de compromettre la bonne fin des projets. Le courtier Meilleurtaux recommande aux candidats à l'emprunt de privilégier les banques réactives leur permettant de conclure leur achat dans délais de la clause suspensive de l'avant-contrat. Quitte à ne pas se focaliser uniquement sur la performance du taux proposé.Même chose pour les renégociations de crédit : les demandes explosent, mais comme la finalité est toute autre, faire preuve de patience peut être récompensé de conditions exceptionnelles.
Consultez le baromètre des taux des courtiers en crédit immobilier.

Par Gerard Mihranyan, le mercredi 20 mai 2015